Magistral, somptueux et élégiaque, la jeune femme y dévoile son coeur brisé avec pour simple accompagnement une mélodie au piano qui vient amplifier la portée émouvante de ses mots. Tu veux être un bon Juif, tu veux être un bon chrétien ? Liaison avec Mme. Jacques Doisneau, La concierge aux lunettes de la rue Jacob, 1945. ». Servir, ce n’est pas d’abord faire des choses, mais bien être avec les autres.  Car, je peux servir quelqu’un sans avoir aucune relation avec lui.  Mais non ; servir, c’est être avec la personne, lui être disponible, vivre en relation profonde avec elle.  Et par là-même, quand je « sers » de cette manière, je deviens et ami et collaborateur de l’autre.  On se souvient de la parole de Marie : « Je suis la servante du Seigneur ».  Oui, Marie est devenue « l’amie » de Dieu, et en même temps, elle est devenue la collaboratrice de son œuvre d’amour.  Voilà donc ce qui nous est demandé et c’est beaucoup plus joyeux ; là, c’est vraiment une Bonne Nouvelle. Mère de Dieu et notre Mère, implore pour nous de Dieu, Père de miséricorde, que cette dure épreuve finisse et que revienne un horizon d’espérance et de paix. Alors que les disciples sont naturellement inquiets et désespérés, il est à l’arrière, à l’endroit de la barque qui coulera en premier. Leurs fortunes insultent les gens d'en face. Ceux du côté colline... Ils habitent là avec leur quotidien de faim et de misère. Ce sont les "muselés" dont parle ce roman réunionnais. (4ème de couverture) Dans le récit de la Passion, nous voyons Symon de Cyrène qui, sans le savoir et en étant forcé de le faire, va porter aussi … non pas Jésus, mais sa Croix.  Jésus l’a-t-il sû ?  Ce n’est pas dit …  Peut-être ne s’est-il pas rendu compte de la présence de Symon :  La croix était tellement lourde …  Mais combien plus lourde aurait-elle été sans la présence de ce réquisitionné ! On me montre déjà du doigt. Durant ce gros mois de confinement, nous avons rêvé (et nous avons eu raison de le faire) à un monde meilleur, plus humain, plus convivial, plus centré sur un autre essentiel.  Nous avons rêvé une nouvelle façon de vivre en communauté. C’est seulement à la fin qu’il va se prosterner devant lui. Tel est le regard pessimiste que Maupassant jette sur la société de son temps, qui permet le triomphe d’individus sans scrupules, sans songer à le mettre en cause, bien au contraire, chacun rêvant d’imiter cette ascension. Au désert, ayant vite oublié comment le Seigneur les avait sauvés de l’esclavage en Égypte, les Juifs vont s’éloigner du Seigneur.  La conséquence : de nouveaux des serpents … comme au jardin d’Éden.  Ses serpents ont une morsure mortelle.  Que faire ?  Moïse se tourne vers le Très-Haut qui l’invite à élever sur un poteau un serpent d’Airain.  Ce serpent guérira ceux qui le regarderont.  Cette image du serpent n’est pas propre aux Juifs ; on le retrouve sur le caducée du personnel médical - le bâton d’Esculape - et il est présent dans beaucoup de mythologies. Allons donc un peu plus profond encore dans la compréhension de cette parabole et tant pis si je me répète : « La répétition est l’âme de l’enseignement … même si elle est parfois lame de rasoir » ! On nous dit : « Vous avez appris qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi ».  Chez les Juifs, en effet, l’amour se cantonnait aux membres du Peuple élu.  C’était déjà énorme.  Je dois aimer les chrétiens … ceux du monde entier, sans doute, mais tous ceux de ma paroisse …  Glurps … On pouvait détester les autres ; car puisqu’ils n’étaient pas juifs, ils n’aimaient pas Dieu.  Donc, on rendait en quelque sorte honneur à Dieu en les détestant. Marie est totalement « branchée ».  Parce qu’elle a porté Jésus en elle, et qu’elle continue, en quelque sorte, de le porter toute sa vie, la fleur de Marie ne quittera jamais la branche de Jésus.  Nous, nous ressemblons plutôt aux princes de Juda de la première lecture : ces princes qui oublient vite la Parole et veulent être des fleurs sans rester accrochés à la branche.  Suivons donc Marie et Jésus dans l’Évangile d’aujourd’hui. » par le nom qui l’obsède, « Georges », et qui va permettre, dans la dernière phase de l’hallucination, la plongée dans une vision hallucinée. dans l’intrigue du roman, dans l’évolution psychologique du héros, et dans la société, La précision des chiffres, les calculs auxquels se livre Georges Duroy, rattachent le roman au courant réaliste, qui entend peindre dans toute leur vérité les réalités les plus ordinaires. Mais surtout, Matthieu se rend compte que "le pharisaïsme" n'est pas réservé à Israël, mais qu'il est une attitude, un comportement qui s'introduit peu à peu chez certains disciples de Jésus. Tombée dans les oreilles de Paul Anka lors d’un séjour en France, il décide de l’adapter en anglais. Marie ne "contemple" pas : elle écoute. Que va-t-il faire ?  Que va-t-il m’arriver ? », Aujourd’hui, comme il y a deux mille ans, le Seigneur nous tend la main.  Il veut faire du neuf avec nous ; il veut créer ce monde nouveau que nous devons co-créer, pro-créer avec lui.  François nous rappelait la nécessité de l’être-ensemble et du faire-ensemble.  Et le psaume du jour (Psaume 22) nous le redit avec un cœur rempli d’espérance pour demain : « Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien …  Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi ; ton bâton - on pourrait dire ‘ta main’ - me guide et me rassure. », Nous voici presque au terme de notre carême ; un carême très spécial, avouons-le, mais la liturgie nous donne déjà un avant-goût de la Résurrection ;  elle le fait comme pour nous dire : « Ne te trompe pas : ce que tu vas vivre la nuit de Pâques, chez toi, devant ta TV sans doute, ce n’est pas seulement la Résurrection de Jésus, mais c’est aussi, déjà, ici et maintenant, ta propre Résurrection. »Â. Bien chers frères et chères sœurs en Christ, Je me permets de vous conseiller de lire les trois lectures du jour avant de comprendre et d’apprécier les méditations quotidiennes de Pierre, et particulièrement celles du dimanche. Â. , site de l'Association épiscopale liturgique pour les pays francophones.                                     J.Q. Et François, hier, de nous rappeler la grandeur du service.  Écoutez : « Le drame que nous sommes en train de traverser en ce moment nous pousse à prendre au sérieux ce qui est sérieux, et à ne pas nous perdre dans des choses de peu de valeur ; à redécouvrir que la vie ne sert à rien si on ne sert pas. Bien sûr, les conditions de vie et les temps ne sont plus ceux du temps de la vie terrestre de Jésus en Palestine, mais comme Jean-Baptiste nous pouvons toujours rencontrer Jésus car il est Ressuscité et toujours vivant. Maupassant le traduit à travers le choix des connecteurs logiques qui restituent les étapes de son raisonnement. Vierge Sainte, éclaire l’esprit des hommes et des femmes de science, pour qu’ils trouvent de justes solutions pour vaincre ce virus. Et encore : "Aimez ceux qui vous haïssent et priez pour ceux qui vous persécutent", Ce qui est déconcertant, c'est que le pardon est présenté comme une chose évidente pour un disciple de Jésus.  On ne trouve pas dans l'Écriture, nulle part, d'encouragement à pardonner du type : "C'est dur, mais courage !". Trois enfin.  C’est le sang d’un martyr qui a donné sa vitalité à la ville de Liège.  C’est l’histoire du grain de blé de l’évangile de ce jour. Deux.  Mais notre beauté est altérée par le péché.  Dieu ne s’y résout pas, il vient à notre secours. Troisième rôle de chacun d’entre nous à la suite de Marie. Ses funérailles seront célébrées lundi à 14.00 à Embourg. Déjà évoqué avec le gros plan sur le « diamant », le luxe ponctue l’ensemble de ce dîner. L’eucharistie nous dit l’Exode est d’abord un repas communautaire.  S’il n’y a pas assez de monde sous le toit pour manger l’agneau pascal, eh bien, on invite la voisine …  Le lieu où nous avons coutume de nous rassembler pour le repas - l’église, ekklesia - est un mot qui veut dire d’abord : le rassemblement, la convocation.  Célébrer l’eucharistie, c’est d’abord et avant tout reconnaître que nous sommes appelés, tous et chacun, par le Seigneur, à venir célébrer son repas.  Il ne s’agit pas d’avoir « sa » messe, comme je l’entends encore parfois.  Il s’agit de nous rassembler là où le Seigneur nous a invités.  Et je vous l’ai dit hier : « ce soir, il nous invite chez nous, ou mieux, il s’invite chez nous ».  Évidemment, si l’on est plusieurs, facile de faire église … mais si je suis tout seul ce soir, comment vivre ce rassemblement : les voisins ne peuvent même pas m’inviter … J’ai été frappé par les funérailles de ce jeune, retrouvé noyé dans la Meuse.  On était déjà dans le confinement, et donc, impossible de participer aux funérailles.  Ses amis et ses amies, sont allés mettre sur les chaises de l’église leur photo.  Ainsi, mystérieusement, ils étaient là.  Ce soir, je vous invite donc à mettre en pensée, plein de personnes dans votre église-maison : de la famille, des amis, des voisins, des souffrants, des soignants ...  Vous verrez, elle débordera vite. » Au cœur de ce jour, je veux te répondre : « Je veux que tu sois le centre de ma vie ».  Je vivrai ma journée autrement, mais, c’est sûr, je la vivrai dans une immense joie, celle de Dieu lui-même. Mercredi de la troisième semaine de carême                                          18 mars 2020, Si certains avaient encore des doutes sur le fait que la Parole de Dieu est vivante et actuelle, les textes des derniers jours sont vraiment brûlants d’actualité.  Et encore aujourd’hui …,      Écoutez le début de la première lecture de ce jour.  On dirait que le Seigneur répond à Sophie Wilmes et nous invite à la suivre : « Maintenant, Israël, écoute les décrets et les ordonnances que je vous enseigne pour que vous les mettiez en pratique. Elle est courbée.  C’est le contraire d’être droite, c’est-à-dire en grec, d’être ressuscitée.  Elle a peut-être essayé d’elle-même de devenir droite, mais elle n’y est jamais arrivée depuis 18 ans.  Cela nous rappelle notre vie spirituelle : nous pouvons essayer seul d’aller vers le Seigneur, nous n’y arriverons jamais.  Je vous l’ai déjà dit : c’est la différence entre la tour de Babel où l’homme essaye de rejoindre Dieu … et la tour s’effondre et d’autre part, la Pentecôte où le Seigneur vient lui-même rejoindre les Apôtres terrés et peureux.  Alors, que choisissons-nous : le volontarisme qui ne conduit à rien sinon à avoir encore plus mal au dos et à désespérer de soi ou, comme la femme, qui est là, tout simplement, qui ne dit rien, mais que Jésus aperçoit, tel le Bon Samaritain. si elle mène au tombeau, je sais qu’au-delà du tombeau.  La première étape de la formation, le B.A.BA en quelque sorte, consiste à apprendre à regarder les autres comme Dieu les regarde : un regard qui ne juge pas, ne condamne pas, qui ne se réjouit pas de trouver une paille dans l’œil de l’autre ! Aujourd’hui, l’Église continue cette mission du Seigneur de donner à manger.  Les prêtres sans doute, en raison de leur ministère ordonné, mais chaque chrétien en vertu de son baptême.  Tant d’hommes et de femmes sont assoiffés et affamés, et nous avons le trésor de nous savoir aimés infiniment.  Comment pourrions-nous garder ce bonheur pour nous ?  Non, le Seigneur nous redit aujourd’hui : « Donnez-leur, vous-mêmes, à manger ! »  Et peut-être, comme pour la première lecture, risquerions-nous de lui dire notre incapacité : « nous n’avons que cinq pains et deux poissons ».  Et alors …  Tracasse, comme disent les jeunes.  Tracasse, dit Dieu !  Donne-moi le peu que tu as et je le multiplierai.  Je pourrais le faire tout seul, sans toi, sans le peu que tu as entre les mains … mais je ne veux pas me passer de toi, parce que je t’aime ».  « Alors, ne me fais pas ce coup-là, ne sois pas timide ou craintif ».  Oui, si Dieu est pour nous, qui sera contre nous.  Soyons une Église audacieuse, forte de sa faiblesse, car Dieu habite notre faiblesse.  Oui, tu ouvres la main, nous voici rassasiés.Â. Travail paisible et humilité … Voilà le programme …  Et ça ira !   Â.                           Ceci vous est sans doute déjà arrivé ... Vous téléphonez à quelqu'un et la conversation va bon train.  Vous vous emballez un peu, puis vous posez une question à votre interlocuteur ... mais, silence à l'autre bout du fil : la ligne a été coupée.  Eh bien, cette douloureuse constatation de rupture de communication, c'est un peu celle des Apôtres en ce temps, dans ces dix jours qui séparent l'Ascension de la Pentecôte.  Ils sont seuls; ils ont perdu le contact.  Ils ont peur de l'inconnu.  L'Église a bien compris cet esprit dans lequel ils sont plongés.  Elle nous fait lire aujourd'hui une partie de la longue prière que Jésus adresse à son Père, juste avant de retourner auprès de lui.  Et dans cette longue prière, un peu difficile, Jésus demande à son Père de garder ses disciples dans la fidélité. En sa fête, la liturgie nous invite à méditer son envoi en mission … et le nôtre aujourd’hui.  Très bref aussi … en quatre points. Parce que ce milieu m'était plus favorable que tout autre pour montrer nettement les étapes de mon personnage; et aussi parce que le journal mène à tout comme on l'a souvent répété. Trois.  Comment tenir ?  La réponse de Jérémie est simple : il s’adresse au Seigneur et il se confie à lui : « Seigneur de l’univers, toi qui scrutes l’homme juste, toi qui vois les reins et les cœurs, fais-moi voir la revanche que tu leur infligeras, car c'est à toi que j’ai remis ma cause. »  Là aussi, le langage ne passe plus aujourd’hui : la revanche …  Ok, mais on comprend bien ce que Jérémie veut dire : Avec toi, j’en sortirai.  Ou comme disait Charles de Foucauld : « Mon père, je m’abandonne à toi … car tu es mon Père ».  Il est long le chemin vers le monde d’après.  Il sera semé de beaucoup d’embûches pour tous ceux qui voudront continuer de le bâtir.  Mais avec Paul qui s’adressait aux chrétiens de Rome, nous osons dire : « Qui pourra nous séparer de l’amour de Dieu ? Malheureux couples pantouflards ! Mais cette apparente conversation  est, en réalité, un véritable morceau d’éloquence, aussi bien par sa construction que par toutes les techniques de l’art oratoire mises en œuvre : les choix lexicaux, les effets de rythme, les images suggestives. Chacun reste refermé sur lui-même. Imaginez un peu notre réaction si je vous annonçais maintenant que notre évêque a été assassiné … Ce serait une consternation évidemment.  Dieu merci, ce n’est pas Jean-Pierre Delville, mais son prédécesseur lointain, saint Lambert, assassiné un 17 septembre aux environs des années 700.  Cet événement dramatique va marquer un tournant décisif dans la destinée de ce qui n’est alors qu’un petit village qui s’appelle Liège. Souvenirs romanesques aussi de ces duels pour une femme, même si la noblesse est ici bien dégradée, vu le mépris de l’expression « même ces hommes-là ». ». Jeudi-Saint                                       9 avril 2020Â, « Si la maisonnée est trop peu nombreuse pour un agneau, elle le prendra avec son voisin le plus proche. », « Vous mangerez ainsi : la ceinture aux reins, les sandales aux pieds, le bâton à la main. Cherchons à comprendre. »  Voilà donc la première « condition » pour pouvoir vivre en ressuscité : recevoir le pain de Jésus et le donner aux autres ensuite.  Le recevoir d’abord : c’est évidemment l’eucharistie que nous vivons.  Comme le dit le Concile Vatican II, « l’eucharistie est la source et le sommet de la vie chrétienne ».  Elle est la source.  C’est une lapalissade, mais nous ne pouvons donner que ce que nous avons reçu ; nous ne pouvons donner le Christ vivant que si nous le recevons d’abord.  L’eucharistie est une source qui nous envoie irriguer le monde.  Depuis notre baptême, nous savons que notre œil est fondamentalement bon.  C’est le péché qui le « trouble ».   Il le trouble à tel point qu’il me donne une image tellement négative de moi.  J’ai l’impression que j’ai une poutre dans l’œil.  Je me regarde selon mon regard - trouble - et pas selon le regard de Dieu, ce regard plein de tendresse et de pardon.  Rappelons-nous le regard de Jésus et de Pierre après son reniement.  Première Bonne nouvelle.  Je ne suis pas si moche que je le crois, j’accepte de recevoir la lumière du Seigneur pour bien me voir. Le texte débute en un moment où le héros éprouve des sentiments violents envers Madeleine, (« jalousie » , « haine » ), qui provoquent une « souffrance » : « L’amertume de son cœur lui montait aux lèvres en paroles de mépris et de « dégoût » . Pardonner consiste simplement à ne pas se venger, à ne pas utiliser en sa faveur la loi du talion (œil pour œil, dent pour dent). Quels sont donc les péchés que l'on nomme "pharisaïsme" ?  Il y en a 3. Deux.  Jésus, pour autant, ne va pas nier l’importance de l’impôt, même si c’est à un envahisseur.  Il a les pieds sur terre ; il sait et il voit ce que Rome apporte et le commerce que les Juifs font avec lui. Le texte est construit de telle façon que l’homme, placé au cœur des deuxième et troisième paragraphes, se trouve comme enfermé, emprisonné dans sa condition mortelle par un ennemi implacable qui semble l’assiéger. La première chose est d’accepter la réalité telle qu’elle se présente à nous, comme celle de cette nouvelle « normalité » qui aujourd’hui s’impose.  La phrase de saint Ignace de Loyola : « Trouver Dieu en toute chose », c’est trouver la paix intérieure pour ensuite accepter un état de fait comme un nouvel état « normal » avec toutes ses conséquences.  Ici, c’est commencer par suivre les consignes des médecins et changer certains de nos comportements pour nous protéger nous-mêmes et surtout, pour protéger les autres …, « Il semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez ». Je vais donc avoir besoin du don de Conseil.  De quoi s’agit-il ?  De trois petites choses toutes simples. Ce n’est pas le temps de ton jugement, mais celui de notre jugement : le temps de choisir ce qui importe et ce qui passe, de séparer ce qui est nécessaire de ce qui ne l’est pas. Trois enfin.  La reine de Saba qui sans Ryanair ni TGV, va parcourir tant et tant de kilomètres pour venir écouter Salomon.  « Vous, les Juifs, vous êtes le Peuple élu, et vous ne comprenez pas.  Mais, voici que d’autres, les païens, qui n’ont aucune connaissance de la Torah, vont devenir le nouveau Peuple élu ».  Les pharisiens, à force de se sentir investis d’une mission, en arrivaient à ne plus se remettre en question.  Cela peut être le cas de chacun des membres de notre Église …  Non, on n’est pas chrétien une fois pour toutes …  Parfois, des gens me disent : « J’ai tout ».  Traduisez : j’ai été baptisé, j’ai fait ma « petite » et ma « grande » communion, voire même ma confirmation.  Bref, j’ai tout ; carte d’identité chrétienne remplie et cachetée ; que pourrais-je encore apprendre de Dieu ?  La reine de Saba a marché, elle a fait un pèlerinage et, par Salomon, a découvert l’amour de Dieu.  Sans doute, cela a-t-il changé sa vie !! Au début, elle observe Duroy d’« un regard protecteur et souriant », image renforcée par le verbe « couvrait », qui lui donne le rôle de la femme plus âgée, celle qui sera l’initiatrice.  Alors, voyons comment Benoît peut marquer notre vie aujourd’hui, à nous qui ne sommes ni moines ni moniales. ".  On dirait aujourd'hui : "Mais pour qui se prend-il celui-là ? Toi, Salut du peuple romain, tu sais de quoi nous avons besoin et nous sommes certains que tu veilleras afin que, comme à Cana de Galilée, puissent revenir la joie et la fête après ce moment d’épreuve.          La première phrase nous parle du Seigneur.  Écoutez ce qu’elle dit dans une de ces lettres : « Je t’assure que le Bon Dieu est bien meilleur que tu le crois. Huile sur toile, 36,8 x 53,3. Ce fut le succès de Clairvaux, dont la communauté ne cessa de grandir et d'essaimer. Cette simplicité vestimentaire souligne la spontanéité de son initiative : aller vers les siens. Nous vivons dans un monde fou. Maupassant révèle ici sa conception très pessimiste de la nature humaine, sans doute héritée, outre de son expérience personnelle, de son maître Flaubert. Quand un homme était mordu par un serpent, et qu’il regardait vers le serpent de bronze, il restait en vie ! » (Nb 21, 4-9). Dieu demeure miséricordieux et ne veux pas punir à toujours. Pour cela, regardons quelqu’un qui a dû être pardonné beaucoup puisqu’il avait été un persécuteur terrible : saint Paul.  Dans la lettre qu’il écrit aux Romains, il dit : « tout concourt au bien de ceux qui cherchent Dieu ».  Tout concourt …  Donc même le mal qu’on m’a fait.  Mais, la plupart du temps, nous ne nous en rendons pas compte.   Retournons au livre le Genèse avec l’histoire de Joseph.  Joseph a été vendu par ses frères.  Recueilli en Égypte - je vous passe toute l’histoire que vous connaissez bien - il va occuper une place importante en Égypte et avoir un rayonnement incroyable.  Au début de l’histoire, ni lui ni ses frères ne pouvaient l’imaginer.  Mais voilà, nous ne sommes pas tout-puissants … mais Dieu l’est.  Et il peut récupérer toute situation même épouvantable.  Alors oui, Joseph parviendra à pardonner, non pas parce que ses frères lui ont fait du mal, mais parce que Dieu est allé au-delà de ce mal pour faire advenir le Bien, comme le Maître qui va remettre 60 millions de pièces d’argent. Comme l’a fait Jésus pour nous. », Aujourd’hui, je laisse François vous parler, afin que vous viviez une sainte Semaine Sainte …. Mais, nous devons accepter aussi que cela se passe parfois - souvent ou toujours même - comme dans la fameuse procession luxembourgeoise d’Echternach : « Trois pas en avant, trois pas en arrière, trois pas su’l côté, trois pas d’l’aut’ côté ».  Même les pas en arrière, faisons-les en dansant, puisque nous savons que nous finirons toujours par avancer. de Marelle, en focalisation interne, met en évidence ce qui séduit Georges en elle : « Elle était jolie, élégante, avec son air gamin et ses yeux vifs ». Même les Apôtres n’y échappent pas … Depuis que l’homme est homme, il y a cette question : Suis-je le plus grand ?  Rappelez-vous : Déjà le Malin disait à Adam et Ève : « Mangez-en et vous serez comme des dieux ».  Être Dieu à la place de Dieu … Quel rêve insensé qu’est le nôtre ! C’est pour cela qu’on l’appelle le Précurseur. Maupassant cède ensuite la parole au héros lui-même, qui corrobore le  jugement, en reprenant les trois termes, fortement enchaînés à ce qui précède grâce aux deux connecteurs, « Et », en tête de phrase, et « en effet ». Le surnom que leur donne Maupassant, « la bande à Walter », lui-même banquier d’ailleurs, donne clairement l’image de malfaiteurs, prêts à tout pour « gagn[er] de l’argent » grâce au journal. Elle est représentée avec la peau noire, tout comme à Banneux, elle a les traits d’une liégeoise, alors que, faut-il le rappeler, Marie est juive !  Marie est toujours représentée avec les traits des femmes de la région où elle est honorée.  Quand je me rends à Pondichéry, elle a évidemment les traits d’une authentique Tamoule.                           Les fruits de la présence de la Trinité en nos vies ?  Les lectures de ce jour en donnent six, mais je ne prendrai que la première qui est en même temps un fruit de la Trinité et une conséquence des cinq autres fruits. 8ème Station : Jésus rencontre les femmes de Jérusalem, Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que les femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus. (Ac 7, 51 - 8, 1a). La rencontre de son ancien camarade, Forestier, racontée dans le premier chapitre, a été bénéfique à Georges Duroy, qui n’avait alors que trois francs quarante en poche. Saint Ignace de Loyola est très clair : Il est essentiel de ce se concentrer sur ce qu’on peut faire à un moment donné.  Au lieu de s’enfermer dans les inquiétudes, la crise permet l’opportunité de faire le mieux possible ce qu’on est amené à faire. Bonne fête à tous les Marc qui me lisent, en ce jour de leur fête.  Saint Marc, un des quatre évangélistes, ami de Pierre et de Paul, a écrit un récit très court, au point que certains l’ont appris par cœur ou que des comédiens, tel Samir Siad l’ont récité sur scène.  Un récit très court et qui va très vite.  Un récit essentiel au sens premier du terme : qui va au cœur, à l’essence des choses. Louis est debout, seul, côté cour, presque adossé au mur. Au nord de Naples, se trouve la commune de Capoue.  Si vous y allez un jour, surtout entrez dans la basilique Sant’Angelo où se trouvent encore des fresques du XIème siècle, dont cette scène de la femme adultère, l’évangile de ce jour. Je vous ai rappelé l’origine et le sens du sabbat.  C’est le jour de la contemplation de la beauté du monde et de la libération de l’esclavage.  Mais avec Jésus, on ira encore plus loin puisque cela va devenir le signe de la Résurrection … et le sabbat juif fera place le lendemain au dimanche chrétien, premier jour de la semaine.  Jésus anticipe déjà.  Il dit à l’homme : « lève-toi et tiens-toi debout », c’est-à-dire très clairement : Ressuscite. Rappelez-vous : nous sommes les feuilles et les fruits accrochés à l’arbre du Père, du Fils et de l’Esprit.  Il est donc normal que nous ayons le même cœur. Jésus, au contraire, approuve Marie qui reste assise devant lui et qui se laisse instruire, enseigner, guérir par la Parole de son Seigneur. De même qu'elle conduit elle-même sa voiture, elle a conduit sa vie, en rentabilisant son seul capital, son corps vendu au plus haut prix possible. Un pas, puis un autre et d’autres encore... A chaque fois je retombe.

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